my roman

j'ai écrit un roman, et j'ai décidé de publier les 5 premiers chapitre, et je voudrai votre avis s'il vous plaît.

Le Manoir

Les cinqs héros

chapitre 1 : Malédiction

- Je n'entrerai jamais là-dedans!s'écria Lisa,une brune aux yeux bleue,un peu petite,la bouche en coeur et aux regard chaleureux et peureux.
- Si tu as peur,alors dégage!rétorqua son frère jumeau Victor,un garçon aux chevaux noir,aux yeux noirs,froids et moqueur,de grande taille et tout blanc.
- Avancer vous-deux au lieu de vous disputer!
Un grand blond aux yeux vert et nez pointu se mit entre les jumeaux et les separa:
- Pourriez-vous avancer s'il vous plait?mon honneur compte.
- Hum hum,toussota un garçon ressemblant a victor,mais au regard moi prétencieux,plus petit et au visage plus pointu. Tu peux répété Cedric......
- Euh....excuse moi Greg,oui,notre honneur compte.
Une jeune fille blonde a queue de cheval,grande,les yeux bleus en amandes et d'une apparence un peu musclé et agile s'avança:
- Ecoutez,on devrai entrer,plus vite on entrera,plus vite on prendra cette photo et plus vite on rentrera chez nous.
- T'as raison Marie!aboya Victor comme s'il allait en guerre.
Ainsi, Cédric, Victor, Marie, Greg et, avec un air un peu apeuré, Lisa, qui étaient devant un Manoir lugubre, ressemblant à une de ces maisons hantée qu'on voit dans les films, entrèrent à l'interieur.
Cédric songea à ce Manoir dans lequel ils entraient tous les cinq,et tous ça à cause de lui et sa fierté a lui. Yvan était son pire enemi, jamais Cédric n'avait autant haï quelqu'un. Yvan le traitait de tout les noms,se moquait de lui et l'humiliait en publique, ce qui n'était pas au gout de Cédric qui était un peu trop fier. Cet après-midi, Yvan l'avait traité de lâche parsqu'il n'avait pas regarder un film d'horreur. Cédric,piqué au vif,avait répliqué que Yvan pouvait demander tous ce qu'il voulait,il relevrai le defis:
"Même aller dans le Manoir?
- Oui!Je prendrai une photo de l'interieur et Victor,Lisa, Marie et Greg m'accompagneront pour être temoins.
- QUOI!avait glapit Lisa qui se trouvait près d'eux.
- OK,répondit Yvan,un sourire narquois aux lèvres,pour demain alors Poule mouillé!"
Les voilà donc tous les cinq devant la Grande Porte du Manoir. Le Manoir maudit à côté de la ville.La Manoir que l'on disait hanté car on y entendait des cris et des bruits terrifiants.
Victor ouvrit la porte qui grinça et entra le premier suivis de sa soeur,de Marie, Cédric et Greg. Ils pénétrèrent dans un hall immense et sombre où des dalles de marbres glissantes menèrent les adolescents près d'un escalier gigantesque qui devait atteindre les trentes mètres. Ils y grimpèrent et prirent une porte noir qui les menèrent dans une salle qui devait être la bibliothèque où plusieurs livres traînaient.
"Hey! s'écria Greg,regardez ce que j'ai trouver!"
Il prit un vieux grimoir qui devait avoir plusieurs siècles
"on a pas le temps Grégory.....
- Arrêtes! Pas de Gregory! Mon nom c'est Greg!
- O.K....Gregory,souffla Victor.
- Bon,on la prends cette photo ou pas? demanda Cédric.
- Oh oui! s'écris Lisa, plus vite ce sera fait, mieux ce sera!"
Greg prit quand même avec lui le vieux grimoir et les suivit. Cédric sentait déjà un peu de gloire monté en lui en se voyant déjà donner la photo devant un Yvan ahuri et une Marie admirative, car Cédric avait quand même quelques sentiments pour elle depuis la sixième. Il la voyait déjà courir vers lui avec sa longue queue de cheval blonde,lui sautant dans les bras et...
"Hey! Cédric! pourquoi tu t'es arrêté? demanda Marie.
- Euh, dit-il en rougissant, pour rien.
Il avança d'un pas précipité et arriva en haut une minute plus tard. Marie le rejoignit tous de suite après, en pleine forme, alors que lui, se tenait assis contre le mur pour se reposer. Il avait rarement vu Marie dans une autre tenue qu'un jogging, il faut dire qu'il faisait du sport tous les jours et qu'elle détestait mettre des jupes, elle trouvait ça trop poupée:
- Co.... Coment tu fais pour franchir tous ça sans être fatiguée?
- Oh, l'habitude, je fais de la course à pieds tous les matins à 6 heures...
Elle fut coupé par Lisa, Victor et Greg qui arrivaient tous rouge. Surtout que le poids du Grimoire ne devait pas arranger les choses pour Gerg.
- Lache ce truc Greg, intima Marie, c'est trop lourd pour toi, et puis, qu'est-ce qui t'as pris de prendre ce bouquin? La couverture n'est pas terrible et je te parie que l'interieur est aussi nul que les histoire qu'invente Victor pour se rendre interessant.
- Merci, grinça Victor.
Il est vrai que la couverture n'engageait à rien, elle était même très moche. Elle était marron avec juste quelques lettres illisible dessinées dessus. Mais Greg s'obstina:
- J'ai juste envie d'y jetez un coup d'oeil . Prenez la photo et vous me rejoindrez.
Il s'assit et, voyant que Greg n'avait pas l'intention de bouger, Cédric, Victor, Lisa et Marie continuèrent sans lui et pénétrèrent dans une salle éclairée par une simple bougie, la pièce ressemblait au coin du parfait petit chimiste, avec des grimoires encore plus moches que celui de Greg, des potions qui fument, des fioles vides, des pots remplit de créatures dont ils n'avaient pas tellement envie de connaître les noms :
- C'est une bonne occasion, lança Cédric.
Il prit la photo et ils sortirent rejoindre Greg :
- En fait,on a rien à craindre de cet endroit, fit remarquer Victor, il ne s'est rien passer.
- Et oui,c'est bien dommage,je pensait qu'on verrait quelques squelettes par-ci et par-là.....
Greg les attendait avec un sourire aux lèvres :
- J'ai trouvé un truc trop cool dans ce bouquin! écoutez!
Il commença à lire une espèce de texte en espagnol quand Marie sauta sur lui et lui arracha le livre des mains en criant:
- NON!
- Marie....commença Cédric"
Mais il n'eu pas le temps de finir car un éclair de lumière blanche apparut, il laissa tomber son appareil photo et s'évanouit.

chapitre 2 : Faits étranges

Cédric s'approcha de Marie et s'agenouilla devant elle, lui tenant les mains.
"Marie, ça faisait faisait longtemps que je voulais te le dire,mais je n'ai pas eu le courage de le faire, maintenant,je peux te dévoiler mon coeur."
Il embrassa ses mains :
"Je t'aime."
Marie ouvrit la bouche et...................................
DRRRRRRIIIINNNNNGGGGG
Cédric se réveilla en sursaut, il posa sa main à son front, il avait transpiré durant son sommeil et jura dans sa tête:
"zut! ce n'étais qu'un rêve!"
Il sortit de son lit et alla vers la salle de bain au res-de-chaussé pour se changer et en se regardant dans le miroir,il se rendit compte qu'il avait dormi en jean et en pull. Il troqua sa tenue contre un autre jean et un gilet bleu. En sortant de sa salle de bain, il se retrouva nez à nez avec sa mère:
"Bien dormi canard doré?.
- Euh....oui m'man.
- C'est très bien! tu vas être en plein forme comme ça! ton petit déjeuner est prêt,comme ça,tu vas pouvoir réviser encore un peu ton contrôle de français."
Cédric blêmit, mais ne laissa rien paraître devant sa mère. Il avait totalement oublier qu'il avait une interro écrite sur le subjonctif imparfait et en plus, le bouquet, c'est qu'il n'avait rien réviser du tout!
Il s'assit à la table et engloutit ses céréales en un temps reccord, puis il remonta dans sa chambre, prit son livre de français, commença à lire et essaya d'apprendre ses verbes,les exceptions et tous le reste. Mais il se rendit bien vite compte que ses terminaisons ne rentraient pas dans sa tête. Déséspéré, il rangea ses livres dans son sac, le mit sur son dos et alla voir sa mère:
"A ce soir maman."
Sa mère l'embrassa plusieurs fois avant de le laisser partir au collège.
Soudain, il se rendit compte d'un fait totalement bizarre. Comment avait-il pu se retrouver dans son lit alors que juste avant, il était au Manoir. Peut - être que ça avait été un rêve, mais pourtant, cela avait sembler si réel. Esperons seulement que si le Manoir avait été un rêve, ce pari stupide avec Yvan l'avait été aussi.
En arrivant à son collège, il entendit une voix derrière lui :
"Tiens! Cédric le trouillard.
Il reconnut aussitôt la voix de son enemi juré, il se retourna pour observer ce mec à l'allure si... Yvan était un garçon aux cheveux aussi brun que l'écorce des bois, ses yeux était d'un beau vert, il était assez musclé et bronzé et une troupe de ses meilleurs amis et des filles qui lui tournait autour étaient aussi avec lui. Cédric se mordit la lèvre jusqu'au sang :
- Alors? où est-ce qu'elle est cette photo? Ne nous raconte quand même pas que tu n'as pas eu le courage d'y aller?
Cédric était frapper d'horreur, non seulement il ne savait pas où était son satané appareil, mais en plus, celà voulait dire qu'il avait bien été au Manoir et qu'il s'était retrouvé dans sa chambre, comme par magie, à moins que ça n'est été bien un rêve, mais juste pour le Manoir.... Oh, et puis, il en savait rien du tout :
- Je le savais ! T'es qu'un petit trouillard Cèd ! "
Il éclata d'un rire sournois et ses chevaux bruns s'étalèrent sur son visage. En temps normal, Cédric lui aurait sauté dessus pour l'etrangler, mais il ne fit qu'hocher la tête et entra dans le hall. De toute façon, il y avait trop de personne autour de Yvan, alors si il l'avait attaqué, il se serait fait démolir. Il alla dans la cour pour retrouver ses amis et avoir la conviction que cette histoire n'était qu'un rêve, ou plutôt un cauchemard. Justement, ses copains étaient tous les quatre en cercle et Cédric les rejoignit :
"Hey! salut les mecs!
- 'Lut, repondirent - ils.
- Je vais peut - être paraître stupide, commença-t-il, mais...
- Tu crois avoir rêvé d'être entré dans le Manoir maudit, coupa Marie. Et bien je peux te dire que t'as pas fait ce cauchemard du tout ! Car tous le monde ici même ce souvient d'y avoir été.
- Mais alors, comment ai - je fais pour atterir dans mon lit ? Enfin, je veux dire, réctifia Cédric sous l'air buté de Greg, comment avons - nous fais pour nous retrouver dans nos lits?
- On n'en sait pas plus que toi Cédric, répondit Marie, car tous ici, nous nous sommes reveillé dans nos draps, en transpirant après avoir rêvé.
- D'ailleurs, on se racontais nos rêves, intervint Greg en souriant.
- Et tu pourrait nous dire le tiens, ricana Victor.
Cédric fit semblant de ne pas comprendre, parsque dans la bande, seuls les mecs étaient au courant qu'il en pinçait pour Marie, il avait préféré ne pas mettre Lisa au courant, en plus, c'était une fille.
- Arrêtez ! couina Lisa, vous voyez pas que cette histoire de Manoir est bien plus grâve que ça ! C'est vraiment effrayant cette histoire !
- Moi au contraire, je trouve ça cool ! rétorqua son frère.
- Mmmm...
Tous le monde se tourna vers Greg :
- Je viens de penser à quelque chose, dit - il, pourquoi m'as - tu sauté dessus quand j'ai commencer à lire ce truc espagnol dans le grimoire ?
Marie se tut, puis repondit :
- Je suis une idiote, mais je flippais, ce que tu croyais être un texte espagnol inoffensif était en fait une incantation.
Cédric se souvint alors qu'avant d'habiter ici, Marie était née en Espagne et maîtrisait toujours cette langue :
- Et cette incantation était une malédiction ? risqua Lisa.
- Oui, et même..."
Mais elle ne put dire un mot de plus que la cloche se mit à sonner et elle du s'enfuir pour aller à son cours d'histoire - géographie. Greg, lui, se dirigea vers les salles d'anglais. Cédric et les jumeaux partirent pour leurs cours de physique - chimie où ils allaient étudier :
" Les planètes et leurs satellites.
Ils sortirent leurs affaires, Cédric du subir les sarcasmes d'Yvan qui, malheureusement, était dans sa classe, en plus entouré de sa bande de pote. Généralement, personne n'aidait Cédric, excepté ses amis, mais en beauté, force et position social, Yvan dominait largement Cédric, donc, c'était beaucoup mieux d'être du côté du prince du collège, plutôt que d'être martyrisé par lui.
Le professeur, M. Hashdeuzoo eteignit la lumière et il accrocha une maquette de lune fluorescente. C'était quand même une belle reproduction, on reperait assez bien les crâtères, et si il y avait eu des étoiles et que la pièce aurait été en apesanteur, on se serait cru dans l'espace. Le prof ouvrit la bouche pour enseigner quand :
- WWWWWWWWAAAAAOOOOUUUUU !!!!!!
Cédric se retourna comme bon nombre d'élève dans la classe, c'était Lisa qui hurlait comme une malade, ou plutôt comme un loup, elle avait grimpé sur sa table et s'était mise à quattre pattes :
- Voyons mademoiselle ! Ce n'est pas une tenue acceptable ! veuillez...
- WWWWWWWWAAAAAOOOOUUUUU !!!!!!
Elle continua plusieurs fois de suite comme si elle était incapable de s'arrêter. Yvan était pété de rire avec ses copains, toutes les filles de la classe étaient indignées par une telle attitude, mais en même temps, c'était Lisa qui le faisait, pas Magalie, la superstar du collège, la fille la plus belle, la plus cool, la plus sophistiqué... Enfin, pour Cédric, c'était une fille comme les autres, elle était blonde avec des cheveux mi-long, ses yeux était bleue, son visage blanc, sa bouche assez rouge, elle était tout le temps maquillée, elle voulait toujours savoir si elle était la plus belle ou pas. Mais si on revient à l'histoire, Lisa n'est pas une fille connue, donc tout va bien. Victor était etonné, mais très content que sa soeur sorte du placard. Sinon, la plupart des élèves ne s'intéressaient plus à l'histoire et en profitaient pour discuter un peu, sortir leurs portables discrètement ou dessiner. Le professeur ralluma la lumière et décrocha la maquette. Lisa cessa aussitôt de hurler, comme ça, d'un coup. Elle regarda autour d'elle, etonnée, elle avait l'air de se demander comment elle avait grimpé sur son bureau sans s'en souvenir et pourquoi les élèves la regardaient ainsi. Le prof s'avança vers elle d'un air menaçant et sévère :
- Hier, j'ai été au zoo, et un des animaux s'est échappé, et je crois que je l'ai retrouvé.
Si Lisa en avait compris le sens, elle aurait eu des yeux humides et des éclats de soumissions, mais vu qu'elle ne pigeait rien à se qui se passait, elle avait juste des grand yeux rond ouvert qui lui donnait un air complètement stupide. Elle avait l'air de ne pas comprendre pourquoi Yvan s'étranglait de rire avec sa bande et pourquoi elle venait de recevoir cinq heures de colles plus une convocation des parents chez le proviseur. En sortant du cours, elle avait des larmes aux yeux, elle avait l'air de trouver celà injuste de recevoir une punition alors qu'elle n'avait rien fait, en tous cas, aps à sa conaissance. Cédric et Victor allèrent vers elle, l'un tout etonné et l'autre poussant des sifflement admiratifs :
- Hey bah ma cher soeur ? On préparait un coup sans me prévenir ? J'aurai pu t'aider tu sais ! Pourquoi tu m'as pas dis que t'allais faire ça ? Parsque je te fait peur c'est ça.
Victor prit son air qui tue du 'personne ne m'aime', ce qui ne fit qu'aggraver la situation et les larmes se faisaient de plus en plus nombreuses sur le visage de Lisa....
- Mais je n'ai...snif... rien fait... répondit - elle entre deux sanglots.... Je ne sais pas ce qui s'est passé !..snif....
- Tu ne te rappelle pas ? la questionna Cédric, dés que Hashdeuzoo a éteint la lumière et à accrocher cette maquette de Lune, et tu as grimpé sur la table en hurlant comme un loup, tu ne repondait même pas aux parole de ce prof en colère.... et puis, dés qu'il a rallumé et décroché la Lune, tu t'es arrêter d'un coup net.
Lisa tomba à genoux, complètement dépassé, craignant qu'il ne lui soit arrivé quelque chose, son frère se pencha vivement vers elle :
- Quelque chose va pas ?
Cédric entendit des sanglots encore plus fort et s'agenouilla près d'elle pour la réconforter :
- Aller, du calme, tu ne passeras plus pour une timide fayote....
A ce moment là, la bande d'Yvan et lui - même arrivèrent en ricanant fèrocement :
- Regardez, s'écria l'un d'eux, voilà Crazy Girl....
Dés qu'Yvan éclata de rire, le reste de sa bande ria aussi et partit vers la salle suivante :
- Tu passeras pour une fille complètement hystèrique et dingo, continua Cédric, mais c'est un meilleur cas que celui d'avant....
Lisa se releva et essuya son visage avec la manche de sa veste, mais elle continuai de pleurer. Victor fut un peu enervé et la tapa sur la tête :
- Arrête ! T'as une meilleure situation qu'avant, alors tu devrai arrêter de pleurer et de te plaindre !
- C'est une bonne chose, mais je ne me souviens absolument pas de ce qui s'est passé... Je me souviens juste du prof qui met la Lune au plafond, et puis après, c'était comme si j'avais sombrer dans un sommeil aussi profond que beau..... j'ai rêver que j'étais un loup qui courait dans une plaine, chassant et hurlant sous une lune aussi ronde que.... que la lune.
Victor lui redonna une autre tape sur la tête, et elle continua :
- Et puis là, d'un coup, je me réveille, et je me retrouve au milieu de la classe, debout sur ma table, avc tous le monde se moquant de moi...."
Cédric se gratta le menton, mais ne trouva rien à dire.

Ils continuèrent leurs matinée avec cours de latin et maths et retrouvèrent leurs deux amis, Greg et Marie pour la cantine. Pendant qu'ils faisaient la queue, Cédric et Victor racontèrent la mésaventure de Lisa en cours de physique. Après leurs récit, Greg resta silencieux et s'approcha doucement de Lisa. Cédric n'arrivait pas à entendre ce qu'ils se disaient, et de toute façon, Marie ne voulait pas qu'ils s'en mêlent, elle avait quelque chose à leur dire quelque chose d'important :
"Je ne sais pas si ça a un rapport, mais il s'est passé quelque chose pendant que j'étais en cours d'histoire. On a visioné une cassette sur l'Europe (à mourir d'ennuie, ça, je peux vous le garantir), et puis Ange, vous savez, cette fille blonde avec des chevaux aussi frisé qu'un caniche et à la voix aussi aiguë qu'un oisillon, et bien quand elle s'est retourné vers moi pour me demander quelque chose, elle a plaqué sa mains devant sa bouche pour s'empêcher de crier en me voyant. j'ai voulu prendre mon miroir (pas la peine de ricaner bêtement Victor), et j'ai vu à la place de mes mains.... rien du tout ! Que dalle ! C'est comme si elles avaient disparuent. Ange à fini par pousser le cri le plus aiguë que j'ai jamais entendu, d'ailleurs, il a failli pété les vitres de la fenêtre. Le prof a rallumé la lumière, et là, mes mains ont réapparu. Ange avait l'air tellement stupide qu'elle a pu a peine bredouiller ses excuses....
- C'est bizarre ton histoire, marmonna Greg.
- Ah... tu étais là toi ?
- Oui, on a fini de discuter Lisa et moi, alors on est revenus.
- Et de quoi vous parliez ? demanda Victor avec un air pervers.
- Sa ne te regarde pas pas du tout.
- Bon, si tu vas pas parler, je forcerai ma soeur... OUH GENIAL !!!!!!!! STEACK - FRITES !! DIEU A EXAUCE MES PRIERES !!!!
Il se précipita pour prendre un plateau et partit tellement vite que ses amis le retrouvèrent assis à une table, engloutissant sa viande saignante :
- Et bien, t'as rien bouffer ce matin ou quoi ?
Ils s'installèrent et discutèrent de pleins de choses differente, comme la prochaine course en natation de Marie qui aura lieu en Novembre, de la prochaine fille que Victor voulait séduire, ce qui ennuya tout le monde, et enfin, le projet abominable de la Destroy Compagny, une société qui ne pensait qu'à détruire et rasé tout sur son passage pour construire des immeubles et des hotels luxueux.
- Ils sont horrible, dit Lisa, ils ont déjà rasé la maison de campagne de grand - mère, et il paraît qu leurs prochaines cibles, c'est le Manoir.
- De toute façon, ils n'ont pas le droit de détruir la moindre chose ici, coupa Marie, m'man dit que de toute façon, même si le Manoir fait peur, il est là depuis plus de cinq siècles et qu'il est un peu comme le symbole de notre ville !
La mère de Marie était maire de la ville après trois ans de lutte acharnées.
- Mais j'ai entendu dire qu'ils utilisaient des moyens horribles pour parvenir à leurs fins, couina Lisa, sans laissé de preuves....
- Mais on s'en fiche ! rétorqua Victor ! on est pas concerné dans l'affaire, et en plus, pour l'instant, on mange, d'ailleurs Cédric, tu veux pas me filez un bout de ta viande ?
- Mais t'as à paine toucher à tes frites....
- Tu me passe ce steack oui ou non ?
- Bon OK."
Cédric et Victor echangèrent leurs assiettes, mais entre temps, Cédric fit tomber son verre, il mit sa main en dessous pour le rattraper, quand il se apssa quelque chose de bizarre, au lieu d'atterir dans sa main, le verre passa à travers sa chair et ses os et tomba à terre en se brisant en mille morceaux. Tous le monde applaudissa en sifflant. Cédric se fit sermoner par l'un des surveillant et reçu un balais pour tout nettoyer. Il rejoignit ses amis en ayant beaucoup de soucis en tête. Comment un verre avait - il pu passer à travers sa main ? Il observa Victor et remarqua avec etonnement qu'il avait pris son assiette et faisait couler le sang directement dans sa bouche. Lisa était stupéfaite et avait la bouche grande ouverte. Marie le regardait avec des yeux rond, Greg avait la mains sur la bouche et un visage tout pâle et tout les autres élèves qui pouvaient le voir le regardaient avec etonnement et dégout :
"Euh... Victor... Qu'est - ce que tu fais exactement ?
- Je fais ce qu'on fait d'habitude à la cantine, grommella - t - il, je bouffe.
- T'as une drole de façon de te nourrir mon vieux...
Victor les regarda, puis déposa son assiette d'un coup sec en jurant :
- Si jamais les personnes qui m'ont vu en parle aux autres élèves et aux externes, je jure de les ridiculiser devant toute l'école, le président de la république et les rois voisins...
Visiblement, il avait l'air enervé, et ça fit bonne impression auprès des autres collégiens. Greg se leva, tenant toujours sa main devant sa bouche :
- Excusez - moi les gars, mais je crois que je vais degueuler, j'file aux toilettes.
Il partit et Cédric s'assit :
- Ecoutez, il faut réfléchir à tous ça, il se passe vraiment quelque chose d'anormal. Lisa hurle en cours, Marie apparait et disparaît comme par enchantement, Victor boit du sang et moi, un verre passe à travers mon corps. Seul Greg n'a rien eu et...
Il fut couper par un surveillant qui s'approchait d'eux, l'air très effrayer :
- Êtes - vous les amis de Gregory ? Il vient d'avoir un accident...
Lisa et Victor se levèrent brusquement :
- Quel genre d'accident ?
- Il a reçu de l'huile bouillante sur le visage.
Lisa poussa un petit cri etouffer et Victor se rasseya :
- Où est - il maintenant ? demanda Marie.
- A l'infirmerie, mais il s'est debattu pour ne pas y aller, et quand j'ai vu son visage, il n'y avait pas de marque, rien de rien !
- Aucune ?
- Rien du tout ! On dirait même qu'il n'a rien reçu ni sentit !"

chapitre 3 : Au Manoir

Cédric, Marie, Lisa et Victor attendaient à côté de l'infirmerie. D'après certains temoins, une cuisinière étaient passée à côté de Greg et elle avait glissé sur une flaque d'eau. Son énorme casserole remplis d'huile s'était retourné et avait renversé tous son contenu sur la tête de leur ami.
"Et voilà, soupira Cédric, on a tous subit quelque chose d'étrange.
- Mais enfin, murmura Lisa d'une petite voix, que nous est - il arrivés ?
- I don't know, répondit son frère.
Il arrivait souvent que Victor parle en anglais quand il était stressé, car lui et Lisa était moitié français, moitié americain, leurs parents ne savaient pas si ils devaient vivre en Amerique ou en Europe, ils avaient donc décidé de faire moitié moitié, une partie de leurs enfance aux Etats-Unis, et l'autre partie en France. Pendant neuf années, Victor et Lisa avait vécu à New-York, et maintenant, ils resteront ici jusqu'à leurs 18 ans, après, ce sera à eux de voir.
Victor regarda sa montre :
- Il faudrait peut - être qu'on y aille les gars, on a interro.
- Bon OK, on se retrouve plus tard Marie.
Ils se dirigèrent en cours de français. Cédric s'asseya et regarda sa copie, il mit toute l'heure pour repondre aux question en sachant très bien qu'il avait tout faux. Il ne cessai de penser à Greg et à toute les bizarreries qu'ils avaient subis.
En sortant des cours, il ne put voir ni Marie ni Greg. Lisa avait son petit cours de piano et Victor cours de boxe, il du donc rentrer tous seul, et en chemin, il eu la malchance de croiser Yvan et ses potes qui ne manquèrent pas de siffler en sa présence et de ricaner. Mais Cédric les ignora, il devait rentrer rapidement pour téléphonner à Marie et lui demander si Greg allait bien. En arrivant, il courru vers vers le téléphone, composa le numéro de Marie et attendit. Personne ne repondit. Déçu, il prit du chocolat et vit un mot de sa mère sur le frigidaire :

Je serai absente toute la nuit choupinou, je suis aller au mariage
de ton cousin issue de germain au deuxième degrés, je ne reviendrais
pas avant 5 heures du matin. Il y a du poulet dans le réfrégirateur, tu
le rechauffera. Je voulais engager une nounou, mais tu t'y serai opposé,
alors soit sage. GROS BISOUS
Maman

La première pensée de Cédric fut qu'il aurai la télé rien que pour lui et libre service dans le frigo. Il prit la télécommande et s'assit dans son fauteuil bien moelleux. Il zappa plusieurs chaînes avant de se rendre compte qu'il n'y avait vraiment rien d'interessant. il éteignit la télé et monta dans sa chambre pour discuter sur MSN, peut-être qu'il allait trouver Marie, Greg ou les jumeaux de connecter. Malheureusement, aucun d'eux n'y était. Il se fit donc une raison et commença à jouer à Word of Warcraft IV. Puis à plus de 20 h, il prépara son dîner, un peu à la traîne.
Après avoir engloutit la moitié du poulet, deux pizza entière et un grand bol de crème glacée, il refit un tour sur internet pour voir si ses amis étaient là ou si ils lui avaient laissés un message. Mais il n'y avait rien du tout. Dépité, il monta les escaliers, poussa la porte de sa chambre et s'effondra dans son lit avant d'avoir pu se changer. Il commença à s'endormir quand :
BBBBBBBOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM
Il se reveilla en sursaut, ayant reçu un coup sur la tête. Il decouvrit plusieurs choses bizarre, d'abords, il n'était plus dans son lit, mais dans le salon, et en plus, il était nu. Il se leva et esseya de monter les escaliers, mais ses pieds passaient à travers comme si ils n'existaient pas. Complétement affollé, il essaya plusieurs fois, mais en vain, en plus, une voix ne cessait de lui répété dans sa tête :
"Va au Manoir! Va au Manoir!"
Il se précipita dans la salle de bain, il y avait certainement des vêtements là-dedans. Mais en voulant saisir la poignée, sa main ne fit que passer à travers, Cédric aurait bien volontier cassé la porte en deux si il ne passait pas à travers. Mais en pensant à ça, il eu une autre idée, même si elle lui faisait peur, il est vrai que foncé sur une porte fermé, c'est pas super evident. Il prit son élan et fonça droit dedans en fermant les yeux, au moment où il s'attendait à un choc, il ne sentit rien du tout, il était à présent dasn la salle de bain, la voix resonnant toujours dans sa tête.
"Va au Manoir! Va au Manoir!"
"Mais j'irai quand je serai habillé! se retorqua-t-il."
Il prit les vêtement qui était dans le seche-linge, enfin, essaya, car c'était comme avec l'escalier et la porte, il ne faisait que passer à travers, sauf à un moment où il réussit à trouver les vêtements qu'il portait la veille, et curieusement, il arriva a les saisir. Il ne se posa pas de question et s'en saisit. Il sortit de la maison discrètement pour ne pas se faire prendre en train de faire le murs apr un flick qui traînait dasn les parages. Il partit en direction du Manoir, comme l'indiquait la voix.
Il passa devant la maison des jumeaux au moment où ceux-ci sortaient eux aussi de chez eux. Victor était pâle, voir même tout blanc, il était vétu des même vêtements qu'hier en plus d'une longue cape de velour noir. Quand à Lisa, elle cachait son corps avec un imperméable et son visage par une capuche. Cédric s'avança vers elle et tendit la main lentement vers la capuche, Lisa n'avait pas l'air d'essayer de l'empêcher de faire ça, elle voulait sans doute qu'il voit tout de suite ce qu'elle cachait. Il souleva lentement la capuche et failli hurler de surprise, à la place du petit visage peureux habituel de Lisa, il y avait une truffe noir, un museau de loup tout poilu, ses yeux bleue étaient devenus rouges. Cédric se tourna vers Victor, qui lui, avait deux canines pointues qui depassaient de sa lèvres superieur. Lisa remit sa capuche et Cédric l'entendit etouffé ses sanglots. Victor s'avança vers Cédric et lui chuchota à l'oreille :
"La paufre Lifa, f'est arrifé comme fa, fans préfenir.
- Toi par contre, on dirait que ton problème viens de tes dents.
- Oh, fa, on peut dire que f'est affez cool et pourri. Mais toi Fèd, t'as pas l'air bien, t'es tous pâle, on dirai même que tu es...
Il passa sa main à travers le corps de Cédric qui ne put s'empêcher de compléter la phrase de Victor :
- Transparent.

Lisa continuait de pleurer et Victor, ne voulant pas lui prendre la main comme un gamin de maternelle, lui mit une tape dans le dos :
- Allez, viens!
Il partit en direction du Manoir d'un pas assuré :
- Où est-ce que tu vas? interrogea Cédric.
- Une intuifion qui me dit d'aller dans le Manoir.
- Tout comme moi, repondit Cédric. Nous devons alors y aller. tu nous suit Lisa?
- Je n'ai...snif...rien d'autre à faire...dit-elle dans un sanglot etouffé."
Ils partirent tous les trois vers l'endroit maudit. En arrivant, ils virent un Greg plus noir que d'habitude. Avec une gigantesque chevelure noir jusqu'au bas du dos, un regard meurtrier mais d'une grande beauté, un nez de la taille qu'il fallait, un visage blanc qui mettait la couleur de ses chevaux en valeur, il aurait rendu toutes les filles folles de lui si il allait au collège comme ça. Enfin, seulement si elle ne voyait pas la longue queue de velour noir qui lui partait du haut du coxys et qui avait l'air de faire un bon mètre. Greg la faisait secouer comme la queue d'un chat.
En le voyant, Victor explosa de rire, Lisa poussa un petit cri et Cédric s'approcha de lui avec un sourir narquois qui montrait qu'il se retenait d'exploser comme Victor :
" Et bien ça alors ! lança - t - il. Es - tu notre Greg ou le Dieu de la Beauté?
- Te moques pas de moi crétin! protesta le beau garçon. Reveilles - toi avec une queue et on en reparlera!
- Je serai certainement moins séduisant que toi mon beau Gregory .
Ce dernier poussa un grognement terrifiant qui stoppèrent les rires de Victor et les vannes de Cédric qui reprit son serieux :
- Tu sais comment tu es devenu comme ça?
Greg cessa de grogner et regarda Victor et Cédric, content de les avoir remis à leurs places :
- Je n'en sais rien du tout, c'est juste qu'en rentrant chez moi, y'avait le marchand de glace et il faisait une chaleure à crever. Alors je suis aller en demander une, et le temps qu'il me la prépare, je me suis regarder dans la glace. Et je me suis dis que des cheveux long m'irait bien, parsque la plupart des filles aiment ça alors... Et je me suis reveillé après la nuit avec des chevaux super long et tout le tralala.
- Bifarre, souffla Victor, mais tu reffemble plus à un poux maintenant Gregory.
- Toi, espèce de castor aux dents écartés, dis-moi si tu peux faire ça !
Il fronça ses beaux sourcils noirs comme si il essayait de se rappeller de quelque chose. c'est alors que ses cheveux rapetissèrent à vue d'oeil, ils devinrent d'un blonds presque blanc, ses yeux devinrent d'un bleu clair et son nez s'allongea. Il regarda alors Victor d'un sourire narquois, se disant vainqueur. Cédric retint un hoquet de surprise :
- Waaa! balèze!
Lisa alla vers Greg :
- Tu es très fort, mais tu sais, je te préfèrai avant.
Greg devint rouge comme une pivoine et ses cheveux et ses yeux changèrent de couleur. Rouge aussi. Cédric vit Victor qui avait une mine boudeuse, visiblement, il avait l'air jaloux, et Cédric savait que Victor n'aimait pas que sa soeur porte une admiration sur une autre personne que lui. Il s'avança alors vers Greg :
- Et ba tiens regarde!
Il fronça lui aussi les sourcils et attendit. Il ne se transforma pas et il ouvrit alors les yeux et vit Greg qui avait un visage victorieux. pour une fois que c'était lui le centre d'interêt... Mais Victor ne baissa pas les bras et lui hurla :
- Fi t'es content de m'avoir remis à ma plafe, tu peux toujours aller te faire voir chez les chauve-fouris..."
Soudain, il y eu un nuage de fumée. Les trois adolescents toussotèrent. Cédric ouvrit les yeux et vit à la place de Victor une chauves-souris qui voletait au-dessus des vêtement de ce dernier...
Lisa courut vers lui
"AAAAHHHH, hurla - t - elle. Victor, ça va? Il faut t'amener dans une clinique!!! Non, à l'hôpital! Oui ! C'est mieux!
Elle prit Victor - chauve-souris dans ses pattes griffus, mais il se retransforma dans ses bras et Lisa reçut dans ses bras son frère tout nu. Elle hurla comme un loup et tourna la dos pendant que celui-ci se rhabilla.
Il se tourna alors vers Greg avec un sourire de victoire. Mais Greg fit un signe de la tête qui signifiait sans doute que ça comptait pas, parsque non seulement ce n'étais aps la même chose, mais en plus, Victor ne l'avait pas fait exprès alors que Greg savait très bien ce qu'il faisait. Le frère de Lisa pris ça comme une Ultime provocation et se dirigea vers son adversaire d'un air menacant. Cédric dut se mettre entre les deux :
- Moi, Cédric le fantôme, je vous déclare ex-equo.
Victor et Greg reculèrent. Ce dernier jeta un coup d'oeil à Lisa :
- Et toi Lisa? Pourquoi est-ce que tu porte cet...
Cédric voulu lui retenir le bras, mais ses doigts passèrent à travers. A peine Greg toucha la capuche de Lisa que celle-ci prit feu. Celle-ci enleva à toute vitesse son impermeable et le jeta à terre en tapotant dessus pour eteindre le feu :
- Oh ! Désolé ! J'avais complètement oublier que tous ce que je touchais prenait feu automatiquement...
- Et f'est maintenant que tu t'en fouviens ! gronda Victor.
- Hey ho ! intervint Cédric. Pas la peine de vous redisputez, ce qu'il faut faire, c'est essayer de savoir pourquoi on est comme ça. Enfin ! Regardez - vous ! Vous en parlez comme si c'était une habitude comme celle de manger des croissant le matin au petit-déjeuner...
Greg reprit son air serieux qu'il prenait tout le temps quand on lui imposait une enigme difficile :
- Je penses, enfin, je suis sur plutôt, qu'on a tous un point commun dans cet histoire.
- Lequel ?
- Nous sommes tous devant le Manoir; et c'est là que tout à commencé.
- Tu oublie quelques chove, quand nous fommes vallés là-bas, nous vétions finq avec Marie. Et qu'elle n'est pas là...
- Qu'est-ce qui te fais dire ça? interrogea une voix."
Tous sursautèrent et se retournèrent pour voir d'où provenait cette voix. Cédric lança :
"C'est toi Marie ?
- Tu dijonctes Céd, objecta Greg. Comment veux-tu...
- Oui Cédric, c'est moi.
Greg avait ses raisons pour s'être trompé. D'où provenait la voix de Marie, il y avait... rien.
- Où es-tu? demanda une Lisa totalement effrayé.
- Je ne peux rien dire, car moi-même, je n'arrive pas à me situer.
- Tu es invivible ! souffla Victor.
- En quelque sorte, puisque vous n'aviez même pas remarquez que j'étais là depuis le debut.
- Ah bon?
Cédric ne participa pas à la conversation, il se rememorait ce qui s'était passé depuis le debut comme la bande d'un film. Puis il comprit d'un coup, comme si un levier qu'on avait oublier d'actionner c'était mis en marche tous seul :
- Marie !
- Quoi ?
- L'incantation espagnol, qu'est-ce qu'elle disait ?
- Euh... Je vais essayer de traduire, mais je risque de faire des fautes :

En ce lieu maudit
Reside l'arme de la nuit
Pouvant transformer cette Terre
En veritable enfer
La vie serait reduite en poussières
Si l'arme tombait en des mains meurtrières
Il faudrait donc que cinq adolescents
Agé de dix à seize ans
Protège ce lieu sacré
Le protège de tous les dangers
Et pour les aider
Nous allons les doter
De pouvoirs etonnant
Pouvant suivres leurs emploies du temps
Si l'un d'eux lit ce sorilège
Quatre de ses amis tomberont dans le même piège
De préférance courageux
Pour réaliser nos voeux
Et jusqu'à leurs seizième annivèrsaire
ils devront protéger ce lieu centenaire.

Ils réfléchirent quelques instant à ce que venait de dire, puis Greg grogna :
" Non mais quel imbécile je suis ! C'est à cause de moi que nous sommes devenus...
- Gradien de la paix! Purée!!! bondissait Victor. je te remerfie du fond du coeur Gregory ! Grafe à toi, je suis devenus un protecteur du Monde!!!
- Pauvre gamin...souffla Marie.
- Mais ça va durer deux ans ce truc là !
- Peut-être bien que non...murmura Marie.
- Comment ça ?
- Et bien, tu te rappelles que je t'ai sauté dessus pour t'empêcher de continuer. Le sortilège n'a peut-être pas fonctionné...
- Mais si ! sanglota Lisa. Si nous sommes devenus des monstres, c'est que ça a forcément marché !
- Oui, mais peut-être que ça ne durera pas jusqu'à nos seize ans...
- Bien fur, irronisa Victor. Fa va durer toute notre vie...
Marie lui repondit d'une tape sur la tête, d'après ce qu'avait vu Cédric, vu que Victor avait ramener ses mains sur son crâne. C'était habituel chez Marie, il suffisait que Victor irronise ou se moque qu'elle le tape :
- Sinon, la solution se trouve peut-être à la fin de l'incantation, suggera Cédric.
- On devrai chercher à l'interieur du Manoir, proposa Lisa. Je veux dire, retrouver le grimoir et Marie traduira le reste.
- Bonne idée ma petite Lisa, approuva Cédric.
Elle rougit et ils entrèrent tous les cinq dans le Manoir.

chapitre 4 : Complot

Lisa consultat sa montre, il était près de minuit. Elle se leva lentement :
"Ecouter les gars, ça fait déjà trois heures qu'on cherche ce livre, on devrait faire une pause...
- Pas question! retorqua Marie. On a toute la nuit pour le retrouver, alors autant en profiter."
Tous les cinq moins Cédric avaient montés les escaliers pour retrouver le livre, mais il n'y était plus. Alors ils avaient décidé de faire toute les pièces. Ils étaient à présent dans une autre bibliothèque du Manoir. Elle était gigantesque, les livres étaient rangés en rang d'oignons du haut du plafond jusqu'au plancher. Ils étaient tous dans un ordre précis, trié par ordre alphabétique des noms d'auteurs. Certains étaient triés par couleurs ou par taille. Mais il y'en avait tellement que les adolescents ne savaient pas où se donner de la tête, d'autant plus que Greg et Cédric ne pouvaient pas toucher un livre, l'un parce qu'il risquait de le brûler et l'autre tout simplement parce qu'il en était incapable. Lisa griffai quelque fois les ouvrages, mais très rarement quand même.
Depuis quelques temps, Victor ne cessait de regarder Lisa, comme si il lui trouvait quelque chose de bizarre. Elle finit par s'en apercevoir et posa le livre qu'elle avait prit :
"Quoi?
- Fe me demandais fufte pourquoi on t'a foivis alors que t'as pas la qualité qu'il faut.
- Je... De quoi tu parles ?
- Et bah, de l'incantafion ! Pourquoi ils t'on filés un poufoir alors que t'es pas du tout calé dans le courafe.
Les yeux de Lisa commencèrent à se transformés en essuie-glaces. Elle plaqua ses griffes sur son visage tout trempé et sortit de la bibliothèque à toute vitesse :
- A bravo Victor !
Cédric vit que Victor replaqua ses mains sur son front, il devina pourquoi. Puis la porte s'ouvrit et se referma toute seule, ce qui laissait supposer que Marie était en train de suivre Lisa. Il n'y pensa plus et reporta son attention sur Victor qui était à present seul face à la tonne de livre... Puis Cédric vit au loin, sous un tapis rouge sang avec des dessins de couteaux et d'armes, une petite bosse. Il s'y approcha et demanda à Victor d'y jeter un coup d'oeil. Celui-ci souleva le tapis et y découvrit une petite boîte, il l'ouvrit et y trouva le grimoir. Enfin, ce qu'il en restait, car ça ne ressemblait plus du tout à un livre, mais plutôt à un tas de cendre et de poussières. Visiblement, il y avait eu un léger petit problème :
- Saloperie ! fulmina Victor. Comme dans les films, ce satané book s'est auto-detruit !
Soudain, la porte s'ouvrit à la volée et personne n'était à la porte, donc, Marie :
- J'ai une mauvais nouvelle.
- Laquelle ? demandèrent les trois garçons en parfaite synchronie.
- Il se trouve que quand Lisa est triste et véxée, elle aime être toute seule, hors, il y a une forêt immense juste à côté...
Greg grogna et Victor poussa un juron, décidement, sa soeur en faisait trop :
- Bon, et bien on fa defoir aller la chercher ! Faufe-fouris !"

Il se transforma en petite chauves-souris et laissa ses vêtement par terre puis sortit par une fenêtre ouverte. Marie, Greg et Cédric restèrent sur place et décidèrent de se partager les rôles. Greg et lui devraient prendre des chemins differents pendant que Marie surveillerait le Manoir. Cédric progressait à la fois facilement et avec difficulté. Il ne maîtrisait pas encore son pouvoir, et quand il marchait, il passait à travers les arbres, ce qui lui faisait etonnement peur... Il passait aussi à travers les animaux, même une fois, il traversa un sanglier qui avant de se rendre compte de quelque chose, avait ruer sur Cédric et s'était cogné contre un arbre, on devinait pourquoi...
C'est alors qu'au bout d'une demi-heure de recherche, il entendit un bruit venir d'une clairière pas loin, et chose bizarre, de la lumière éclairait le lieu.
"Sans doute Lisa, se dit-il, elle aurai fait un feu pour se rechauffer"
Mais pourtant, ça ne collait pas... Cédric savait que les loups détestait le feu, et jusqu'à preuve du contraire, Lisa ressemblait plus à un loup qu'à un humain...
Il s'approcha quand même et découvrit bian assez vite qu'il ne s'agissait nullement de son amie, mais des hommes en noirs assis autour d'un feu. L'un d'eux était grand, il avait peu de cheveux, ses yeux étaient cachés par de grandes lunettes noirs et Cédric distingua quelques cicatrices sur son visage.
Le second était petit et gros, il avait de grands cheveux noirs noués en catoguan. Mais malgrés son ventre énorme, Cédric trouva bizarre de voir que l'homme avait un visage maigre et émacié...
Instinctivement, le jeune adolescent se cacha discrètement sous un buisson. Depuis sa plus tendre enfance, Cédric était curieux et fouineur. Quand il était petit, il écoutait souvent ses parents aux portes, mais ne comprenait pas grand chose. Un jour, il avait surprit ses parents dans une discussion de grande personne et n'avait rien comprit. Son père parlait de 'promotion' et de 'mutation seul'. Et un jour, il est partit en laissant à Cédric une lettre avec des mots compliqués en demandant à Cédric de resoudre 'l'énigme'. Maintenant qu'il avait grandit, l'adolescent avait comprit que son père était partit en voyage d'affaire et qu'il ne reviendrait plus. Le seul souvenir lui restant, c'est cette mystèrieuse lettre dont il n'avait toujours pas résolu l'enigme d'ailleurs.
Si on en revient à la discussion que Cédric suivait, le grand homme aux cicatrice se penchant vers le petit gros :
"Pourquoi m'as-tu fais venir ici Jarod ?
- Pardon père, c'est juste que... Le patron nous a donné l'ordre de surveiller le Manoir et de le visiter pour prendre des trucs interessants, seulement moi, je flippe à mort ! L'endroit est glauque ! Je suis sur qu'il est habités par des revenants !
Le père de Jarod donna une claque à son fils :
- Tu as peur d'une espèce de cabane en bois? Certes grande, mais d'une cabane en bois ! Tu me fais honte !
- Je suis vraiment désolé père! Mais le patron veut que je fasse mes preuves ! Alors s'il vous plaît, aidez-moi ! Vous avez bien été aidé par grand-père non ?
- Seulement, je lui avais pouvé que je méritais son aide !
Jarod se mit à genoux devant son père, visiblement, elles avaient l'air belles les traditions dans leurs famille...
- Comment ? Comment puis-je vous prouver que je suis compétent ?
- Tu veux faire tes preuves auprès de moi ? Alors montres-moi que tu n'es pas un incapable et abat donc le sale gosse qui nous epie depuis tout à l'heure !
Jarod se leva et son père lui indiqua le lieu où était planqué Cédric. Le fils sortit un flingue de sa poche interieur et visa la tête de Cédric qui ne se fit pas prier pour se tirer d'ici tout de suite ! Le petit rondouillet le visa et lui tira dessus. Plusieurs balles passèrent à travers le corps du jeune adolescent et il valait donc mieux ne pas recroiser Jarod quand on était pas transparent. Il entendit le père crier après le fils. Visiblement, avoir echappé à Jarod n'était pas au gout de tout le monde.
Il arriva enfin près du Manoir. La pêche à Lisa avait l'air d'avoir été bonne de leurs côté par contre. Par contre, la jeune fille était complètement effondré et en larme. Greg était pres d'elle mais ne la touchait pas, tandis que Victor criait dans le vide, il devait donc se disputer avec Marie. En le voyant arriver, tous les autres se tournèrent vers lui. Puis Victor recomença à s'enguler avec l'adolescente invisible et Lisa continuait de pleurer, alors pour sa sécurité, Cédric trouva préférable de parler à Greg :
- Qu'est-ce qui s'est passé ?
Greg mit ses coudes derrières sa tête, style qu'il n'était pas super à l'aise :
- Euh... et bah, tu sais que Lisa est végétarienne ? Et que la vue d'un animal dechiqueté ou bien même manger de la viande, ça la rends complètement hystèrique ?
- Oui... repondit Cédric, craignant le pire.
- Et bah, Lisa est un loup, hors, un loup, c'est carnivore...
- Merci, je le savais !
- Alors imagine Lisa en train de tuer une biche et son faon. Ensuite, tu la vois en train de bouffer la chair cru du petit animal et de sa mère. Imagine après qu'elle reprenne ses esprits et qu'elle voit deux pauvres bêtes complètement déchiquetés, et qu'elle voit sa gueule pleine de sang...
- Ah d'accord... Je vois.
- Alors quand Victor et moi on la retrouvé, j'ai essayer de la calmer en lui prenant le bras, mais j'avais oublié que... euh... j'enflamais tout ce que je touchais... alors je lui ai brûlé le bras. Je ne sais pas si elle pleure parce qu'elle a mal ou parce qu'elle est encore traumatisé.
Lisa pleura de plus belle et les cris de Victor et Marie augmentaient de plus en plus. Cédric en avait assez, alors il en profita pour en placer une qui fit taire tout le monde :
- J'ai trouver un truc qui pourrait peut-être nous mettre en situation embarassante..."
Tous le monde se tut et le regarda. Cédric eu une mine satisfaite et commença son recit. Il en profita aussi pour rajouter des details qu'il avait inventer pour bien se faire mousser. Au bout de dix minutes, il termina son recit. Ils méditèrent trente seconde avant que Victor ne se lève d'un bond:
- Une minute ! Fi ils ont dit qu'ils rentrait dans le Manoir... Alors fa veut dire qu'ils font là et qu'ils nous obferve depuis pas mal de temps et favent peut-être auffi qui on est !
Ils rentrèrent précipitement à l'interieur et se réfugièrent dans une pièce sans fenêtre. Si Cédric devait lé décrire, il dirait sans doute qu'il faut imaginer la pire salle des tortures et on arrive au resultat. La pièce où ils étaient était rempli d'instruments bizarres. Les murs étaient recouvert de vieux sang séchés et tout craquelé et de tapisserie representant diverses periode de tortures de l'histoire. Les Cathares brûlant sur de grands bûcher, les Templiers se faisant torturés pas Philipe Le Bel... Lisa eu une expression degouté et plaqua ses mains sur sa bouche pour s'empêcher de vomir :
- Quel horreur! on doit protégé ça.
- Au moins, ils rappliqueront pas ici ! rétorqua Marie. Nous allons d'ailleurs en profiter pour faire le point.
Chacun s'asseya et raconta ce qui lui était arrivés. Cédric pu savoir que lorsque Greg s'était reveillé, son pyjama était en flamme et son lit à moitié brûlé. Il s'était après tapé une bonne enguelade par son père. Marie, elle, était allé dans la salle de bain et avait été bien étonné de voir une chemise de nuit voletant dans les airs. Quand aux jumeaux, Victor avait agressé le chat et Lisa, au lieu de defendre la pauvre bête, avait essayé de la dévorer. Heureusement qu'ils avaient finis par se contrôler, sinon, ils n'auraient plus eu d'excuse pour la mort du petit félin. Cédric emit alors une théorie :
- J'ai peut-être une hypothèse sur notre transformation.
- On t'écoute.
- Nous avons peut-être tous été metamorphosé en créature de conte.
- C'est à dire? questionna Greg.
- Et bien, par exemple Lisa, elle est sans doute un loup-garou. Victor lui, la question ne se pose pas, c'est un vampire. Quand à moi, je suis peut-être une sorte de fantôme... Mais pour Marie et toi, je donne ma langue au chat, je ne vois pas qui vous êtes...
- Je penses moi, que Greg est une créature de l'enfer, proposa Marie, une sorte de diable. Tu brûle tout ce que tu touche, tu peux changer d'apparence et...(elle ne put s'empêcher de lancer un petit rire moqueur) une queue.
Greg eu une mine grognon :
- Je le savais merci...
- Et moi, je crois que je suis un démon de la nuit.
- Hum, intervint Lisa d'une petite voix, je me pose une toute petite question... Pourquoi les vêtements de Cédric ne passent-ils pas à travers son corps ? Pourquoi le jogging -enfin je penses, est-il invisible ? Et pourquoi les habits de Greg ne brûlent pas ?
- Excellente question, reconut Cédric.
- Je crois bien que c'est parce qu'on porte les mêmes habits qu'hier, dit Greg.
- Et alors ? demanda Victor.
- Et bien ils ont sans doute subient les mêmes effets que nous. Ils ont tout prévus ces créateurs de sortilèges.
- Et si on en revenait à notre autre problème ?
Soudain, Greg claqua des doigts comme si il avait eu une idée revolutionnaire. Il se pencha sur le mur et l'une des tapisserie prit feu. Mais ses amis ne l'enguelèrent pas, après tout, ce n'était pas une si grosse perte...
- J'ai eu une idée !
- C'est ce qui nous semblait, repondit Cédric.
- Ce ne serai pas la Destroy Compagny? Après tout, ils cherchent à raser le Manoir. Alors autant pour eux de vendre ce qui à l'air rare et precieux avant de tout raser.
- Et ils doivent savoir les allés et venus des visiteurs... Rien que pour les eliminé tranquillement en engageant des tueurs à gages et comme ça, personne ne verra rien au changement...
- Euh... Tu vas un peu loin là Marie...
- Attends que ma mère apprennent ça ! Elle va lui botté le cul à cette entreprise !
- Et comment tu vas lui dire ? interrogea Lisa.
- De quoi ?
- Elle voudra savoir comment tu sais ça.
- Ba tiens ! Ma parole, ça va suffir à la convaincre ! Ch'suis sa fille nan ? Et puis, si c'est pas assez, j'lui balance tous le reste !
Ils sursautèrent. Victor avait été tellement surprit qu'il avait poussé un cri suraigu abominable. Après avoir cessez, il rougit de honte. Crier à son age, non mais ça va pas bien ?
- Tu ne vas pas faire ça quand même ? dit Greg.
- Et pourquoi pas ?
- Primo, elle te croira pas. Enfuite, fi on confirme, on est bon pour un févour à l'avile !!!
- Et en admettant qu'elle te croît, reprit Greg, on aura les journaliste et les scientifiques à nos trousses ! Ils voudront se servir de nous comme cobaye! J'en suis sur ! Et je ne tiens pas vraiment à me retrouver cloué à un mur avec des piquet avec marqué au-dessus 'Jeune allumeur de feu' !
Vu la tête de Marie, elle n'avait sans doute pas songé à ça. Alors cette fois, ils décidèrent d'être serieux et de discuter avec attention vis-à-vis des autres. Ils finirent par se mettre d'accord sur certains points. Ils ne diraient rien à personne sur cette histoire, reviendraient chaque soir, comme c'était indiqué dans le grimoir, pour empêcher les pillages et les méchants de voler 'l'arme'. Puis, pour faire passer le temps, ils décidèrent de s'amuser un peu pour faire fuir les gens de la Destroy Compagny. Ils remontèrent en haut de la tour et Victor se pencha à la fenêtre et hurla de son cri suraigu dont il avait fait la demonstration il y a peu de temps. Tous ses amis se bouchèrent les oreilles et Cédric du enlever son pull et son tee-shirt et de les mettre sur ses oreilles pour ne pas entendre l'horrible cri. Certaines fenêtres du Manoir se brisèrent et Cédric vit nettement des hommes partir à toute vitesse, pour leurs faire encore plus peur, Lisa improvisa un magnifique cri de loup et Victor sauta dans le vide en se transformant en chauves-souris pendant que ses vêtements dégringolait jusqu'en bas. Il les poursuivit. Visiblement, tous les hommes de la Destroy Compagny allaient s'en souvenir. C'est alors que le soleil se leva lentement. La chauves-souris se transforma alors en Victor et il tomba à terre. Heureusement, il ne devait être qu'à quelques mètres du sol. Cédric se retourna alors vers ses amis. Il revoyait Marie, elle avait les cheveux défait et quelques branches accrocher à ses vêtements. Lisa avait retrouver sa forme humaine, mais ses vêtements étaient déchiré en certains endroits et elle avait un peu de sang autour de la bouche. Quand à Greg, il avait reprit la même apparence que d'habitude et mettait sa main vers son derrière pour voir si il avait toujours une queue.
- J'ai bien l'impression que ça ne marche pas la nuit.
- Et bien, ça se comprends, comme si on pouvait aller en cours avec une queue...
- Bon, bah y'a plus qu'à rentrer chez nous tranquillement."
A la fenêtre, ils virent Victor courir tel un nudiste pour aller récupéré ses habits. Lisa était rouge de honte, Marie ne regardait pas et les deux autres garçons prient d'un fou rire incontrolable. Ils partirent tous ensemble chez eux.
Arriver chez lui, Cédric se faufila dans sa chambre sans faire le moindre bruit. Il se deshabilla et se mit en pyjama, puis alla se mettre au lit. Mais bizarrement, il ne ressentait aucune fatigue...
Sa mère arriva et vint le reveiller en l'embrassant à travers sa couverture. Cédric gromella qu'il voulait dormir pour faire style, vu qu'il fisait la même chose tous les matins quand sa mère venait le reveiller.
Il mit d'autres vêtements et descendit. Il prit rapidement son petit déjeuner, prit son sac et partit en direction du collège.

chapitre 5 :
Enlèvement.

Après avoir subit les railleries de Yvan sur le retour, Cédric rentra chez lui à toute vitesse, plein d'amertumes. Au debut, ça avait si bien commencer... Mais ça c'était fini en eau de boudin.
En étant arriver devant sa salle de classe, Victor lui avait déclaré que le prof de Techno, M. Soudure, était absent pour cause maladie. Cédric avait bondit de joie, le fait que son prof ne soit pas là lui laissait une heure de liberté après les deux heures de français et l'heure d'anglais. Ensuite, pendant le cours d'anglais, Yvan, malgrés sa tête d'ange, n'avait pas pu éviter l'heure de colle à cause de devoirs non fait. Et puis, finalement.... Cédric avait finit par se taper des trucs pas cool. A la récré, un pigeon lui avait fait sur l'epaule, ce qui avait déclenché les eclats de rire moqueurs de la bande d'Yvan et de tous ses fans. En étant en cours de français, elle avait rendu les contrôles et il s'était prit un 1/20... Mais le pire qu'il avait vu, c'était à la sortie.
Il s'était précipité vers la sortie avec Victor et Lisa, Greg finissait plus tard et Marie était sans doute à la sortie en train de les attendre. Sauf que quand il sortit, il vit les cheveux blonds de Marie au coin du batiments scolaire, dans un endroit aps super fréquentable, celui où la plupart des racailles traînait ou bien là où on essayait de se vendre de la cannabis. Il cru un moment qu'elle avait des problème et s'y était précipité en silence. Ses deux amis l'ayant suivit. Il s'approcha et ce qu'il vit lui fit un choc monstrueux.
Marie était adossé au mur, ses cheveux flottant dans l'air et ses mains sur sa taille. Devant elle se tenait un garçon que Cédric conaissait déjà, il s'agissait de Kévin, un jeune lycéen qui rendait les filles folles dans son lycées. Quand c'était pas Victor et Yvan, les filles allaient devant le lycée et allaient le voir pour le draguer. Mais Kévin, lui, c'était plutôt un oiseau de chasse qui considérait les filles commes des petites souris. Alors le fait de voir Marie se faire séduire par Kévin, un bourreau des coeurs, rendait Cédric malade. Kévin se pencha même vers sa 'proie', rapprochant leurs lèvres l'une vers l'autre. Le collégien n'y tint plus, et avant que ses amis ne le retiennent, il coura vers le lycéen et le bouscula avec force. Celui-ci tomba sur le côté. Il n'eu le temps de voir qui l'avait pousser que déjà Cédric rentrait à toute allure chez lui.
Pourquoi ? Pourquoi il n'avait pas déclaré son amour à Marie plus tout ? Qu'est-ce que ça pouvait bien faire ? Elle aurai pu attendre aussi non ?
Il s'enferma dans sa chambre et se laissa tomber sur son lit. Que faire à present ? Tomber amoureux d'une autre fille ? Peut-être, après tout, il ne savait même pas comment il était tomber amoureux de Marie. Il eut alors une autre idée, si il sortait avec une fille, ça rendrait Marie jalouse ! Enfin, seulement si elle l'aimait, mais Cédric en était pratiquement sur, enfin, quasiment quoi. Juste une seule ombre dans son tableau, quelle fille déguoté et comment la convaincre de sortir avec lui ? Très bonne question.
Déjà, il fallait en attirer une... Comment ? Cédric trouva vite la réponse. Il suffisait juste de changer de look, en tous cas, pour le debut. Après tout, il n'arrivait pas à avoir au moins une fille comme Victor. D'ailleurs, peut-être que Victor pourrait l'aider ? Après tout, avec Yvan, c'était le plus beau tombeur du collège, alors bon, il pourrait peut-être lui donner quelques cours de drague.
Pour commencer, changer de vêtements. Le noir lui allait bien, en tous cas les couleurs sombre. Mais en y réfléchissant bien, on voyait que le blanc lui allait comme un gant. Et pourquoi pas une casquette? Oui bien sur, mais alors dans quel sens ? C'est vrai quoi, le machin en arrière, c'était cool y'avait trente ans, mais en avant, ça faisait plouc quand même. Ensuite, les chaussures. Basket ? Converse ? D'accord, mais de quel marque ? Nike ? Puma ? Et puis les cheveux... Long et emmêlés, ça pourrait marcher, ça ferai super cool, mais court et lisse, ça ferai bien aussi, quoi que, ça le ferai passer pour un pigeon. Pas facile de changer de look aussi rapidement. Finalement, il opta pour des fringues noirs, les cheveux court et emmêlé, sans casquette, avec des colliers étrange autour du cou, style gothic, ça faisait vraiment mystèrieux, ça attirait les filles. Pour ses accessoires, il irait les chercher dans une boutique animalière, après tout, on y vendait bien des collier à pics non ?
Etape suivante : la démarche du Dieu. Comment marcher pour charmer toute les collégiennes et lycéennes qui traîneraient sur son chemin. Peut-être qu'en bougeant bien son derrière, ça attirerai ? De plus, il fallait la position des mains : dans les cheveux ? Dans les poches ? Les laisser pendouiller le long du corps ?
Il n'avait pas penser aux ongles. Peut-être qu'il devrait les peindre en noirs, ce serai trop cool.
Troisième Etape : le vocabulaire : Comment bien parler devant les filles... C'était plutôt dur à réaliser, là, il lui fallait les conseil d'un specialiste ! Comme Victor par exemple. Mais pour le moment, il valait mieux pour lui qu'il s'entraîne en solo.

Pendant tous l'après-midi, même vers sept heure du soir, il continuai de soigner son image. Après manger, il remonta encore dans sa chambre, il avait tous son temps après tout, vu qu'ils étaient samedi soir. A mais non ! Il fallait quand même aller protégé ce Manoir ! Cédric en avait marre, même si il n'y avait été qu'un seul jour.
Soudain, le téléphone sonna et Cédric entendit sa mère l'appeller :
- Mon choupinou, je suis occupé ! Peux-tu repondre à ma place s'il te plaît ?
- Mais m'man ! Je suis occupé !
- Désolé canard doré ! Mais je ne peux pas repondre les mains pleine de graisse et liquide vaisselle, alors tu vas repondre !
Cédric poussa un soupir d'agacement, mais descendit quand même pour aller repondre, de toute façon, ça pouvait être Victor ou Greg. Il prit le combiné et écouta :
- Cédric !
C'était la voie de Marie. Cédric était à la foie heureux et pas content. Il voulut lui repondre que c'était lui, mais elle ne lui en laissa pas le temps :
- Aides-moi !!! La Destroy... Les autres... Préviens les que....
Mais au lieu d'entendre la suite de la phrase, il entendit un grand cri. Si ce cri n'était pas un cri d'horreur, Cédric aurai pu considéré que c'était une fois de plus la voix mélodieuse et enchanteresse de Marie. Après ça, il n'y avait plus que le bip d'un telephone qui avait été raccroché.
Il prit alors conscience que Marie était sans doute en danger ! Il fallait absoluement prévenir les autres !
- M'man... Je euh... J'ai oublier un exercice, je vais aller chez euh... Victor !
- Pourquoi tu lui téléphone pas ?
- Et bien euh... Je voulais pas que tu le sache pour que tu ne me pose pas de question, mais je dois dire un truc très important à Victor, ça ne peut pas se dire au téléphone, et je ne peux pas attendre lundi.
Ce qui était vrai d'ailleurs.
- Bon, très bien, alors vas-y, repondit sa mère, fier de savoir que son fils la respectait en lui révélant ce qu'il allait faire vraiment.
Cédric sortit à tout vitesse et prit son portable, il composa à toute vitesse le numero de Lisa et attendit en se rongeant les sang :
- Allo ?
- Allo, Lisa ? C'est Cédric.
- Tiens, salut, qu'est-ce qu'il y a ?
- Je viens de recevoir un coup de téléphone de Marie.
- Et...
- Elle hurlait.
- Elle hurlait ?
Cédric cru entendre Lisa trembler à l'autre bout du fil.
- Si elle criait, c'est que c'est très grave ! Je préviens mon frère, toi, appelle Greg.
Elle semblait complètement hors d'elle.
- D'accord Lisa, mais du calme, je suis au parc, faîtes le mur, et rejoignez-moi.
Il raccrocha et attendit. Si jamais il arrivait quelque chose à Marie, jamais il ne se le pardonnerai, après tout, il ne lui avait même pas révélé son amour. Il s'assit sur un banc et attendit, il commençait à faire de plus en plus frais. Mais qu'est-ce qu'il faisait bon sang ! Il devrait être là quand même depuis longtemps ! Cédric en avait marre de se tourner les pouces ! Quand enfin, Greg arriva. Cédric prit alors le temps de lui expliquer tous ce qui se passait avant que les jumeaux n'arrivent à leurs tours. Les trois arrivants étaient vraiment étonné de voir le changement de look de Cédric, si on devait décrire tous ce qu'ils avaient fait tous les trois, ce serai complètement different. Victor pouffait, comme d'habitude, Greg était impassible, mais on savait qu'il était vraiment sous le choc, et Lisa, elle, ne faisait que se gratter la tête, la main dans ses cheveux bruns. Cédric ne voulut pas leurs expliquer, et préféra repasser au sujet du comportement de Marie. D'autant plus que Victor et Lisa ne savaient pas tous les faits. A la fin de son recits, ils décidèrent tous les quatres d'aller chez Marie, histoire de voir ce qu'elle faisait.
Quand ils arrivèrent devant la maison, Lisa souleva le palier et prit une clée. Tous s'étonnèrent, même son frère :
- Comment tu sais que sa clée était là ?
- Tous simplement parce que nous sommes les meilleures amies du monde, et que je suis déjà venus plusieurs fois chez elle sans que sa mère soit là.
Elle mit la clée dans la serrure et poussa très lentement la porte.Et quand ils pénétrèrent à l'interieur, ils furent horrifié.
Toute la maison était devenus un souk monstrueux. La télé était à terre, son écran cassé, le canapé et les armoires renversées. Plusieurs objets de valeurs appartenant à la mère de Marie s'étaient brisée sur le tapis qui était déchiré, laissant de la laine rouge eparpillé dans toute la pièce. L'ordinateur était à terre en mille morceau, sous le secrétaire qui le portait habituellement. Et le téléphone, enfin, le therme même 'Téléphone' n'était plus approprié. Ils se dirigèrent vers la cuisine, on pouvait dire que c'était à peu près la même chose que l'autre pièce. Le frigidaire et le congélateur étaient ouvert et leurs contenus renversé sur le sol. Le carrelage était couvert de sauceet de ketchup tandis que les tables étaient sur le côtés, les tabourets cassés et des couteaux plantés dans le mur :
- Apparement, il y a eu lutte dans le coin, remarqua Greg.
- Nan, sans blague ? ironisa Victor. Voir un bordel pareil dans une maison, ce ne pouvait être qu'une danse mal interprêté.
- En tout cas, notre Marie à l'air de s'être bien defendue...
Greg regarda les couteau en fremissant :
- A votre avis, c'est Marie ou le ravisseur qui s'est servis des couteaux ?
- Marie, repondit Victor.
- Moi, je pencherai plus pour les ravisseurs, déclara Greg.
- On fait le pari Grégory ?
- Quand tu veux ! grinça-t-il !
Cédric ne prit pas part à la discussion. Il était totalement effondré, un désordre pareil, ça ne se déclanchait pas tout seul. Comme ils venaient de le dire, Marie avait forcément été enlevée. Cédric ne regrettait pas ce qu'il avait fait à Kevin, bien au contraire, il en était fier, seulement, si Marie mourrai, la dernière chose qu'elle aura vu de Cédric, ce serai un acte de jalousie, ça, par contre, c'était beaucoup moins drôle :
- Hey ! s'écria Lisa, venez-voir pas ici !
Sur le mur couvert de poignard, une feuille était retenus par un des ustensiles dont, d'après les adolescents, Marie s'était servie. Sur cette feuille justement, on avait découpés et collés des lettres de magazines pour former des mots et des phrases pour ne pas recconaître l'écriture :

NoUS teNoNs VOTre FiLle.
SI VouS voUlez lA revOiR
AlLeZ A l'EntrePoT 97
a 22 H 30.

Cédric relut la lettre plusieurs fois de suite, il l'avait carrément photocopié dans son esprit. SA Marie avait été enlevé... Mais qui pouvait être assez cruel pour s'en prendre à une fille aussi douce et gentille ?
- Qui donc aurait pu la kiddnapper d'après vous ? demanda Lisa comme si elle avait lu dans l'esprit de Cédric.
Greg était en train de frotter ses mains contre ses yeux, signe d'une intense reflexion. Puis lentement, il enleva ses membres de ses paupière. Tout le monde retint son souffle, ça voulait dire qu'il avait une reponse possible :
- Je crois que c'est la Destroy Compagny.
Tout le monde ne semblait pas du même avis :
- Gregory, réfléchit plus, on sait que pour nous, tu es la machine à méninge, mais si il faut que je te rebranche pour que tes idées refonctionne, je n'hésiterai pas à le faire. On parle de Marie, pas du Manoir.
Pourtant Greg semblait accroché à son idée :
- J'en suis sur, d'ailleurs, j'ai un argument en béton !
- Lequel ? demandèrent-ils tous en coeur.
Greg se tourna vers Cédric, un petit sourire au lèvre :
- Je pensais que tu m'approuverai Cédric.
- Pourquoi moi ?
- Répètes-nous mots pour mots ce que t'a dit Marie au téléphone.
Cédric soupira d'agacement, il en avait marre de le répété :
- Aides-moi !!! La Destroy...
Il s'interrompit, les autres venaient de comprendre aussi :
- Ah les beaux Salauds avec un grand S.
- Mais pourquoi l'enlèveraient-ils ? questionna Lisa.
- Ils ont besoin d'elle, repondit Greg, n'oublie pas que Marie est la fille du Maire du Canton, donc en l'occurence, une monnaie d'echange contre la destruction du Manoir.
- Prévenons la police alors, couina Lisa.
- Non, ils tueraient Marie dans ces cas-là.
- Alors c'est à nous d'aller la chercher.
- Mais pourquoi nous? se plaignit Lisa.
- Parce qu'on est les seuls à être au courant.
- Non, sa mère le saura aussi.
Cédric s'avança alors vers la lettre, la decrocha et la dechira en plusieurs morceau avant de la mettre dans la poubelle renversée :
- Voilà, maintenant, on est les seuls.
- Mais t'es malade ! glapit-t-elle.
- Pas du tout, je suis en bonne santée. Tu as besoin de lunette pour voir que le rendez-vous est fixé à 22 h 30 ? Hors, à 22 h 30, il fait nuit.
- Et là...
- Marie deviendra invisible, et la Destroy Compagny saura tout.
- Mais si on va la chercher, comme il fera nuit, ce ne sera pas mieux.
- On ne peut pas prendre le risque, lança Lisa.
- Alors tu veux abandonner Marie, c'est ça ? s'enerva Cédric.
- Je n'ai pas dis ça... s'inquiéta Lisa, intimidée par la colère de Cédric.
- Excuses-nous, intervint Victor, mais à moins de parler le brésilien, c'est exactement ce que tu as dis.
- Je...
Elle rougit puis bredouilla de maigres excuses :
- Désolé.
- T'as raison d'être désolé !
- Pas la peine de se disputer, intervint Greg. Le plus important, c'est Marie, qu'est-ce qu'on fait pour la sauver ?
- On va au lieu de rendez-vous, on leurs casse la tête pour leur faire avouer où ils l'ont planquée et on va la chercher en pétant la gueule aux autres méchants, suggéra Cédric, un sourire sadique aux lèvres, faisant craquer ses articulations. Décidement, la perte de Marie l'affectait au plus haut point.
- On est pas sur une DS ou une playstation et on ne joue pas à Tekken 4 !
- Mais on a pas d'autre plan !
- Alors votons. Que ceux qui sont pour Cédric lèvent la main.
Les trois garçon levèrent la main et Lisa les regarda, toujours pareils ces mecs.
- Bon, on prends ce plan, mais doit-on vraiment y aller la nuit ?
- Ce serait mieux la nuit, on est moins vulnérables.
- Mais alors en se grouillant quand même.
- Je ne veux pas redevenir une bête sanguinaire ! opposa Lisa. Après, je vais être poursuivie pour meurtre !
- Personne ne saura que c'est toi, assura Greg. La ressemblance entre toi et le loup-garou sont quasi nul. En tout cas, de loin, on ne te recconaîtrera pas.
Lisa ne parut pas convaincu du tout.
- Et l'ADN ? Tu y a pensé ?
- Y'aura plus d'ADN de loup que du tiens je penses.
- Ah tu penses ? Je vais sans doute commettre plus d'un meurtre ce soir, et toi, tous ce que tu dit, c'est que tu penses que je vais pas me faire attrapper ? Me voilà rassurée...
- On doit tenter le coup ! Pour Marie ! De toute façon, tu n'es aps obliger de secourir ton amie.
Cédric insista bien sur le mot amie et Lisa en fremit. Elle chercha vainement une excuse, mais n'en trouva pas. Evidement, au fond d'elle, elle savait que s'il arrivait quelque chose à sa meilleure amie, elle ne se le pardonnerai pas. Mais elle avait peur et ne voulait pas y aller. Mais à court d'argument, elle abandonna :
- Je... Oui, bon, d'accord.Je viens, mais si je me fais attrapper, ce sera de votre faute ! Et on racontera quoi comme truc aux parents ?
- C'est à dire ?
- Et bien, on va être absent pendant la nuit, déjà, pour les parents, je sais pas quel salade on va raconter. Mais on leurs dit quoi pour cette nuit ?

- Bah, on est samedi...
- Et alors Greg ?
- Bah, on peut dire qu'on dort chacun chez l'autre.
- Tu veux dire prétendre que je dors chez Victor, que toi, tu dormirai chez moi, et Victor chez toi, que Lisa dormirai chez Marie et le contraire ? questionna Cédric.
- A peu près.
- Bah ouai, c'est pas mal comme idée.
Lisa restait cependant sceptique. Jamais contente celle-là. Mais n'ayant pas d'autre fois, elle fini par abdiquer.
- Bien ! Alors f'est okay.
Tout le monde regarda Victor. Celui-ci n'avait aps dit grand chose depuis un petit moment et donc personne n'avait remarqués que ses canines blanches repoussaient. Cédric aussi ressentait un engourdissement dans le corps, comme si ses vêtements lui passaient au travers du corps. Par la fenêtre brisée, il vit que le soleil se couchait.
- Il faut absoluement que je rentres pour me changer !
- Nous aussi figures-toi ! siffla Greg.
- J'ai des vêtements long et noir sur moi, je pourrai me camouflé, je vais rester écrire un mot à la mère de Marie, j'arrive à bien imiter son écriture après tout. On se rejoint devant le Manoir.
Cédric, Victor et Greg partirent comme des furies pour rentré chez eux. Ce fut difficile pour Cédric, car ses vêtements pesaient de plus en plus lourds. Victor le devançait, mais Greg était à la traîne. En se retournant, Cédric vit que les habits de son ami commençait à fumer, ce qui attirait le regard des passant, étonnées. Chez victor par contre, il n'y avait rien d'anormal et Cédric ne comprenait pas pourquoi il courait comme s'il avait le diable aux fesses.
En arrivant chez lui, il était trop tard et ses vêtements traînaient sur le palier alors que lui, courait nu jusqu'aux toilettes où il y avait caché ses vêtements pour ne pas que sa mère les laves tout de suite. En sortant, il entendit le roucoulement habituel de sa mère :
- Choupinou ! Que font tes vêtements sur le paillasson de la maison ?
- Euh...
- Ne me dit pas que tu t'es changé devant la porte ? On aurait pu te voir tu sais. Et tu aurai pu au moins mettre tes vêtements dans le lave-linge.
- Désolé m'man, ça ne se reproduira plus.
Il passa discrètement à travers les murs de la maison et se dirigea dans la cuisine.
- Je suis occupé m'man, je viens de manger un gateau vite fait et je dois...
Elle pénétra à toute vitesse dans la cuisine, les vêtements noir de Cédric dasn ses bras dodues :
- Tu manges ! Mais arrêtes tout de suite petit inconscient ! Tu vas devenir gros comme un porcelet, non pas que ça me gène, je t'aime comme tu es, mais j'ai entendu dire que l'obesité était grave pour la santée !
- J'ai mangé un biscuit, pas une tarte entière.
- Il n'empêche qu'il faut que tu surveilles ta nourriture !
- D'accords maman, mais je voulais te dire que je pars chez Victor, je dors chez lui.
- Sans sac ?
- Tu sais bien que je l'ai oublier chez lui avec ma brosse à dent.
Il inventait bien sur, mais sa mère, ne voulant pas le decevoir, approuva :
- Oui, je me rappelle.
Elle l'accompagna jusqu'à la porte et regarda à la fenêtre :
- Oh ! Mais il fait nuit ! tu n'auras pas peur tout seul dans le noir ? Tu veux que je t'accompagne ?
- Non ! surtout pas !
- Pourquoi ?
- Non, je veux dire, c'est à deux pas de la maison, je peux y aller tout seul, j'ai plus cinqs ans.
- Bon, si tu veux canard doré.
Elle se pencha vers lui pour l'embrasser, mais Cédric recula.
- Non, non, non maman ! J'ai... attrappé... un rhûme !
Il fit semblant de tousser et d'eternuer :
- Tu ne voudrais pas que je te contamine ?
- Tu as un rhûme... Mais alors il ne faut aps que tu sortes !
Cédric se maudissait d'avoir inventé une excuse aussi bidon auprès d'une mère pareille :
- Oui... mais... On est en septembre, et il fait chaud, même la nuit, je ne vais pas de sitôt choper une crève horrible, ce n'est q'un petit rhûme un peu contagieux, c'est tout.
Sa mère le regarda :
- On ne dit pas 'choper la crève', on dit 'attrapper un gros rhûme'.
- Est-ce que ça veut dire que je peux y aller ?
Il croisa les doigts :
- Bon, d'accords.
Si Cédric n'avait pas retenu sa joie, il aurait sauté au plafond et serai passé à travers.
Il courut à toute vitesse vers le Manoir. Il était tellement inquiet pour Marie qu'il ne cessait de passer à travers les passants sans faire attention. Ceux-ci était très etonnés, mais n'avait le temps de voir ce qui se passait que Cédric était déjà de l'autre côté de la rue. Quand il arriva enfin, il allait tellement vite qu'il essaya de freiner, mais fonça sur Victor et passa à travers lui avant de tomber par terre :
- Aïe...
- T'as fini de te rendre interessant ? grommella Greg.
Ce que Cédric avait remarqué, c'était que quand Greg était transformé, il avait l'air plus ouvert et plus grognon :
- Et en plus, t'es en retard.
- Oui, ça va ! Echangeons de mère et tu verra le resultat.
En se relevant, il prit le temps d'observer ses amis. Lisa portait de beau vêtements noirs qui se fondaient dans la nuit, on ne voyait que son museau poilu qui depassai lentement de la capuche de son survêtement. Elle avait à sa mains griffu une espèce de magnétophone. Greg était toujours aussi séduisant avec son regard de braises et ses chevaux longs. Quand à Victor, il avait eu la bonne idée de mettre les mêmes habits que le jour de la visite au Manoir. Mais il s'était remis un cape et son visage était devenu aussi blanc qu'un cachet d'aspirine :
- Euh... Je voudrai... Faire part de quelque chose d'important, déclara Lisa. En ecrivant la lettre pour la mère de Marie, j'ai vu le magnétophone en marche, et je me suis dis que... Peut-être qu'il avait enregistré quelque chose d'interessant.
- Et...
- Et bah écoutez.
Elle appuya sur le boutons play et une musique assourdissante en sortit. Lisa se boucha les oreilles, elle avait bien sur une ouïe très fine et ça lui cassait les oreilles. c'était du rock'N'roll, digne de Marie, c'était sur. Lisa eu le temps d'appuyer sur le bouton pause, puis elle murmura d'une petite voix :
- Pardon, je me suis trompée...
Elle avança un peu, puis s'arrêta :
- Je crois que c'est bon.
Cédric écouta attentivement :
-... La gamine ? Bien caché ! Mais c'est qu'elle lance des couteaux quand même ! C'était dur !
Il recconut la voie de Jarod, la suite lui révéla que son interlocuteur était son père :
- Je l'espère pour toi !
Le fait d'entendre la voix des deux hommes qui avaient tentés de le tuer fit bouillir un peu la rage de Cédric :
- T'inquiète p'pa, je l'ai planqué au Manoir, j'en ai plsu peur maintenant tu sais. Avant, j'avait la trouille, surtout quand on a entendue ces hurlements, mais maintenant...
- Je me fiche de savoir si tu as peur ou pas ! Est-ce que quelqu'un ta vu ?
- Euh... et bah, en y réfléchissant bien, j'avais pas fait gaffe, mais je crois qu'une vieille nous a remarqué...
Cédric entendit un couinement, ce qui voulait sans doute dire que le père n'avait aps l'air de prendre son fils dans ses bras pur lui souhaiter un joyeux anniversaire :
- Non, non, personne ne nous a vu.
- Bien.
Lisa stoppa l'enregistrement :
- Voilà, ça veut dire...
- Que j'ai gagné mon pari ! jubila Victor. Tu me dois dif euros Greg.
- Quoi ? Et quand est-ce qu'on a décidé que le paris vaudrait quelque chose ?
- Depuis maitenant !
- Arrêtez de faire les crétins ! coupa Cédric. Marie est retenus au Manoir et on doit la libéré !
- Mais euh... murmura Lisa.
- Quoi ? lancèrent les trois garçons.
- Si Marie est au Manoir, elle doit être surveiller...
- Oui, et alors !
- Euh, est-ce que ça vous inquiètera si jamais je vous dit qu'on est en face et que je viens de remarquer qu'un type te visait avec son pistolet Cédric ?
- Comment...
Il se retourna et reçut une balle qui lui traversa l'epaule et se planta dans le sol.

voilà, vous n'auez plus la suite. Vous devrez l'acheter si il sort. Mais si il sort aps, je publierai la suite sur le fofo.

SUPER GIGA TROW BIEN !! La suiteuu !

Pas mal du tout !

Mais trop long a lire^^ Nan je déc, il est super !

lol

je metterai la suite que si je le publie pas...

Met la suite quand même^^
Nan ?

na,
on sait jamais ?
Peut-être qu'un voleur pourrai arriver sur le sujet et le copier...

De plus, ça vous permetterai de le voir gratos si il a du succès!mdr

lol^^

Exelente idée !^^
Je déconne.

Vi elle est bonne!!!
Qu'est-ce que tu lui reproche?

De ne pas mettre la suite^^

et bah si je le publie, t'aura qu'à l'acheter!

c'est qui ton perso préféré?

Moi pourquoi^^?

Question bête^^

comme ça

parce que sur d'autres site, la plupart préfère Greg

Non, je sais pas^^

a?
dommage...